Jane Eyre

Siempre me han atraído esos libros que, considerándose "clásicos" de la literatura, rompen con el canon masculino que lleva siglos imponiéndose. 'Jane Eyre' es uno de ellos, pero me parece importante advertir sobre una obviedad: fue escrito hace 200 años. Es decir, sería un error acercarnos a esta novela con la expectativa de leer algo parecido a un tratado fundacional sobre feminismo, tal y como lo entendemos ahora. No lo es. Quizá no está ni cerca de serlo. Pero es que tampoco es su función.
'Jane Eyre' me ha parecido un retrato interesantísimo de la sociedad inglesa de la primera mitad del siglo XIX, en el que, además, Charlotte Brontë se atreve a reflexionar -y esto sí considero que implica una subversión importante del mencionado canon literario hipermasculinizado- sobre la libertad y la agencia de las mujeres como entidades completas en sí mismas, y no como complemento necesariamente subyugado al hombre. A través de la narración de Jane se exploran los límites dibujados por la sociedad patriarcal y las consecuencias que suponía sobrepasarlos.

J'écris cette chronique à chaud, juste après avoir tourné la dernière page du livre et je pense que le sentiment dans lequel je suis influencera quelque peu ma chronique.

En effet, je suis déçue de la fin de ce roman, partons tout de suite dans les spoilers, la fin me frustre vraiment. Depuis le départ de Jane de chez M. Rochester, je suis frustrée. Alors que je voyais dans cette décision la meilleure qu'elle puisse prendre, elle est revenue vers son maître alors que je pense qu'elle mérite mieux. Et pourtant elle paraît heureuse. Autre chose qui me désole, ce hasard des choses qui fait que par un miracle fou elle se soit retrouvé chez sa seule famille alors qu'elle errait seule dans la campagne anglaise...

Mais revenons sur le début du roman, j'ai eu beaucoup de mal avec la phase enfant et adolescente de Jane bien que j'aie tout de suite aimé son caractère. La plume de Charlotte, bien que nous racontant toute l'histoire alors qu'elle est déjà bien loin pour elle, nous replonge pourtant d1ns les souvenirs comme si le récit était fait sur le moment.

J'ai beaucoup aimé tout le passage à Thornfield où je la voyais devenir une femme et s'affirmer, elle et son caractère, parfois bien en avance sur son temps avec son féminisme et ses manières.

En résumé, je ne dirai pas que j'ai aimé ce roman, j'y ai seulement passé un bon moment.